Le féminisme chevillé au corps (et au cœur surtout, je serais tentée de dire), il s’agit ici de l’un des projets auxquels je tiens particulièrement.

La condition féminine dans bon nombre de territoires et régions en Afrique reste préoccupante.

Quand nos sœurs et mères ne sont pas évincées des bancs de l’école (sous le prétexte fallacieux que la place de la femme reste dans la cuisine), c’est le destin même de son propre corps qui ne lui appartient plus (excision et autres sévices physiques que l’on sait) !

À travers le projet Réparer les filles, je veux tout simplement honorer la dignité de celle qui n’est ni plus ni moins que la seconde moitié de l’humanité !